Les substances chimiques trouvées dedans les produits de beauté, sont-elles compatibles avec l’organisme humain ?

Pendant cette année nous avons fait partie du groupe de chimie pour le projet bilingue interdisciplinaire 2017-2018, ayant le thème « Les produits cosmétiques, entre beauté et santé ». Notre sous-problématique de groupe a été « Les substances chimiques trouvées dedans les produits de beauté, sont-elles compatibles avec l’organisme humain ? ».

Pour répondre à cette question, nous avons préparé dans le laboratoire des produits de beauté comme la crème au soucis, le baume à lèvres, des scrubs compatibles avec différents types de peau et le savon à base d’huile d’olives et de palmier. Nous avons testé les produits préparés dans le laboratoire et tout le monde a été satisfait par le résultat. Même si quelques collègues avaient des allergies aux différents produits du commerce, aucun effet négatif n’a été ressenti par eux.

Pour répondre à cette question, nous avons préparé dans le laboratoire des produits de beauté comme la crème au soucis, le baume à lèvres, des scrubs compatibles avec différents types de peau et le savon à base d’huile d’olives et de palmier. Nous avons testé les produits préparés dans le laboratoire et tout le monde a été satisfait par le résultat. Même si quelques collègues avaient des allergies aux différents produits du commerce, aucun effet négatif n’a été ressenti par eux.

Au début du projet, nous, le groupe de chimie, étions très curieux s’il y reste encore des produits naturels à acheter dans les pharmacies. En conséquent, nous sommes allées à la recherche de produits naturels. Heureusement, pas seulement les boutiques bio mettent en vente des crèmes, du savon et du shampoing naturel, mais aussi une partie des pharmacies en offrent. On a remarqué que les substances et les essences les plus répandues dedans les produits de beauté naturels sont l’argile, le miel, l’huile des olives, le beurre de palmier et les fleurs médicinales comme les soucis, la lavande et la menthe.

Bien-sûr que, après le petit voyage aux boutiques et aux pharmacies et après les rencontres avec les représentants Bioderma et avec deux spécialistes en produits cosmétiques, les petits hommes de sciences étaient impatients à découvrir les bienfaits et les affections que les substances derrière nos produits de beautés provoquent. Cela a constitué la partie principale du projet bilingue, la recherche personnelle et la conception d’une problématique personnelle et d’une problématique de groupe. Ensemble, nous avons réussi à dévoiler partiellement les secrets des grandes entreprises de produits de beauté et peut-être même à convaincre les autres de l’avantage immense de préparer leurs produits de beauté chez soi.

Ensuite, nous avons constitué un questionnaire sur les habitudes de différents gens devant le maquillage, la recherche des ingrédients qu’ils utilisent et la fréquence à laquelle ils soignent attentivement leur peau. Le résultat a été assez satisfaisant. La majorité des êtres humains savent la théorie concernant les produits cosmétiques. Il y reste seulement qu’ils le mettent en pratique. J’espère vraiment que, par nos sous-problématiques, nous réussirons vraiment à convaincre les autres d’être plus attentifs avec ce qu’ils mettent sur leur corps.

La dernière partie de notre projet bilingue a été l’écriture et le design d’une petite brochure de recettes de produits cosmétiques faits maison. Pour qu’elle soit plus attractive, nous avons inclus aussi quelques jeux simples et des curiosités sur les substances chimiques trouvées dans les produits de beauté. Après de longues journées de travail en groupe, nous l’avons enfin terminée et nous sommes très satisfaites par le résultat.

Pour conclure, les substances chimiques peuvent être classifiés en deux groupes : substances organiques et inorganiques. Les ingrédients de produits cosmétiques qui se trouvent aussi dans notre corps ou, au moins font un bien pour une plante, en n’étant pas un poison, amènent seulement des bénéfices pour notre peau et notre corps s’ils ne sont pas utilisés excessivement. De l’autre coté, les substances organiques en contenant du benzène, des acides gras étranges pour notre corps ou des métaux lourds, sont un danger pour l’intégrité de notre santé et peuvent provoquer de nombreuses maladies. À la fin, il est essentiel que les consommateurs vérifient les étiquettes des produits qu’ils achètent.


Les colorants naturels versus les colorants synthétiques dans les produits cosmétiques

Définition :

Le colorant = Substance colorée, naturelle ou synthétique, qui, mise en contact avec un support, dans des conditions appropriées, se fixe sur ce dernier de façon durable en lui communiquant une certaine couleur.

Classification des colorants :

Donc, la teinture est une substance colorante soluble dans le milieu qu’elle colore. Le pigment est une substance colorante insoluble dans le milieu qu’elle colore.

Utilisations des colorants (autres que dans les produits cosmétiques)

C’est une petite partie des utilisations des colorants dans les domaines les plus variés; je ferai la recherche sur les points communs entre les colorants et les produits cosmétiques.

Classification des pigments

Actuellement, ou peut utiliser quelques dizaines des pigments naturels et plus de sept milles des pigments synthétiques, pas seulement dans l’industrie des cosmétiques.

Le développement de la chimie organique a causé la création des pigments organiques de synthèse, qui peuvent être des dérivés de l’aniline, de goudrons, etc.

Nombre de pigments synthétiques sont des dérivés du pétrole et ont un grand potentiel allergène et cancérigène.

Formule semi-développée de l’aniline

Formule semi-développée de l'éosine Y

Les plus communs colorants synthétiques issus de la chimie organique :

Codes internationaux des colorants :

Les colorants sont signalés sur l'étiquette des produits cosmétiques par les deux lettres “C.I.” suivies de 5 chiffres.

Colorants synthétiques : ceux commençant par :


*colorants azoïques et à l’ammonium*

Colorants naturels : ceux commençant par:


Après avoir fait une recherche approfondie sur les colorants et pigments synthétiques, on peut déduire que la majorité d’entre eux contiennent des noyaux benzéniques et/ou des atomes d’azote.

Exemples des colorants et pigments végétaux :

Exemples des teintures colorantes :

Toutes les trois teintures mentionnées sont solubles dans l’eau et ont des propriétés antiseptiques et antifongiques. Habituellement, elles peuvent être utilisées pour la coloration des cheveux, en ayant un grand pouvoir colorant.

J’ai décidé d’aborder le sujet de la coloration des cheveux, car elle est une pratique très fréquente dans le monde d’aujourd’hui.

A. La coloration chimique des cheveux :

Phénomène :

Le mélange utilisé dans la coloration chimique fait gonfler la fibre capillaire et s'écarter sur les écailles du cheveu, ce qui le fragilise.

B. La coloration naturelle des cheveux

Phénomène:

Les pigments libérés par les plantes se fixent sur la cuticule des cheveux, formant ainsi une couche protectrice imperméable, qui laisse pénétrer les soirées et renforce la chevelure.

Points forts et points faibles de “A” et “B”

A:
+ moins chers en salon que les colorants végétales
+ nuances claires, très variées
- le cuir chevelu est fortement sensibilisé
- les pigments peuvent être nocifs non seulement pour le cheveu, mais également pour la santé générale de l’utilisateur (ex: perturbations endocriniennes, risque de cancer, problèmes de peau, etc.).

B:
+ aucun risque pour la santé
+ adapté aux femmes enceintes ou allaitantes
+ on protège l'environnement et la biodiversité
- plus difficile (que les colorants chimiques) de les utiliser chez soi
- la teinture végétale s’estompe progressivement avec les shampooings

Peut-on se passer des substances nocives qu’on trouve dans les cosmétiques ?

Introduction

On utilise chaque jour un ou plusieurs produits cosmétiques pour prendre soin de soi et de son apparence. Mais on ne sait pas toujours ce que contiennent ces produits. Soucieux de nous mettre en garde contre leur utilisation et leur composition, j’ai choisi de parler des ingrédients trouvés dans ces produits cosmétiques et essayer de trouver des alternatives qui ne sont pas nuisible pour le corps humain.

Les catégories des produits cosmétiques

Il existe plusieurs grandes catégories de produits cosmétiques, qui se subdivisent elles-mêmes en plusieurs sous-catégories. On distingue principalement:

Les effets nocifs des substances chimiques

Certains produits contiennent de puissantes substances chimiques, comme les plastifiants (utilisés pour fluidifier le ciment frais), les dégraissants (utilisés pour nettoyer les moteurs et pièces mécaniques auto) et aussi les tensioactifs (utilisés dans les peintures et encres industrielles).

Les baumes et rouges à lèvres sont des cosmétiques à part puisqu’ils sont susceptibles d’être ingérés. On ne devrait donc pas y retrouver d’ingrédients interdits dans les aliments à cause de leur toxicité. C’est pourtant le cas des huiles minérales et des hydrocarbures de synthèse. Prohibées dans les produits alimentaires, les huiles minérales sont autorisées dans les cosmétiques.

Les substances les plus toxiques présentes dans les produits cosmétiques

1. BHA et BHT

L'hydroxyanisole butylé (BHA) et l'hydroxytoluène butylé (BHT) sont principalement utilisés comme agents de conservation dans les crèmes hydratantes et le maquillage. Ces 2 substances sont connues pour être des perturbateurs endocriniens, et le BHA est aussi lié au cancer.

2. Agents conservateurs qui génèrent du formol

Il faut s’assurer que les produits soient sans DMDM hydantoïne, diazolidinyl urée, imidazolidinyl urée, méthénamine ou quarternium-15. Utilisés comme antimicrobiens dans plusieurs soins de beauté, ces ingrédients sont des libérateurs de formaldéhyde. Aussi connu sous le nom de formol, c'est une substance cancérigène à éviter comme la peste.

Il faut s’assurer que les produits soient sans DMDM hydantoïne, diazolidinyl urée, imidazolidinyl urée, méthénamine ou quarternium-15.

Utilisés comme antimicrobiens dans plusieurs soins de beauté, ces ingrédients sont des libérateurs de formaldéhyde. Aussi connu sous le nom de formol, c'est une substance cancérigène à éviter comme la peste

3. PEG

Le polyéthylène glycol (PEG) est utilisé comme épaississant dans de nombreux produits cosmétiques. Lesquels ? Par exemple, les savons liquides, les crèmes hydratantes et les shampooings.

Le problème, c'est que l'on sait qu'il peut contenir un cancérigène connu, le 1,4-dioxane. Évitez aussi le propylène glycol (PG) et les dérivés chimiques semblables qui contiennent les lettres "éth" comme par exemple dans le polyéthylène glycol.

4. Pétrolatum

Il s'agit d'une gelée de pétrole de type Vaseline. Dans les soins capillaires, elle donne de l'éclat aux cheveux. Et dans les baumes pour lèvres, le rouge à lèvres et les soins hydratants, elle est utilisée pour créer une barrière hydratante.

Mais c'est aussi un dérivé du pétrole, qui est contaminé avec des substances cancérigènes reconnues, les hydrocarbures polycycliques aromatiques (HAP).

5. Siloxanes

Essentiellement, évitez tous les ingrédients qui se terminent en "—siloxane" ou en "—méthicone". Ces substances sont utilisées pour ramollir, lisser et hydrater des produits tels que le rouge à lèvres, les shampooings et les déodorants.

Le cyclotétrasiloxane est classé comme perturbateur endocrinien par l'Union européenne, et il peut nuire à la reproduction chez l'homme.

6. Triclosan

Connu pour ses propriétés antibactériennes, le triclosan est largement utilisé dans les dentifrices, les nettoyants visages et les déodorants.

C'est un perturbateur endocrinien et on pense qu'il rend les bactéries plus résistantes aux antibiotiques.

Conclusion et solutions

En bref, il faut surtout éviter les produits qui contiennent des ingrédients qu’on ne connait pas, et essayer de lire toujours les étiquettes avant acheter des choses qui vont faire contact avec la peau.

Quelles sont les alternatives sans risque ?

Tout d'abord, le mieux est de limiter au maximum les produits cosmétiques au quotidien. La plupart ne servent pas à grand-chose et en plus coûtent cher.

Ensuite, il est toujours préférable de privilégier des cosmétiques et soins bio pour la peau.

Malheureusement, ce n'est pas toujours donné. Reste donc la solution de les faire soi-même. Le concept de slow cosmétique est déjà développé et de plus en plus de gens commencent à le pratiquer. C’est aussi notre cas, les élèves qui ont réalisé ce projet, car on est déjà les adeptes des cosmétiques préparés à la maison.

Comment les métaux présents dans les cosmétiques influencent-ils notre organisme ?

Ag (l’Argent)

L’argent, considéré un métal moins noble que l’or ou le platinum, a tout de même un potentiel d’oxydation très bas. C’est pourquoi il est un ingrédient important des certains crèmes, ou il stabilise le mélange des substances et empêche la prolifération des bactéries. Puisque l’argent est trop lourd pour entrer vers la membrane phospholipidique et ne se dissolve ni dans l’eau (substance polaire), ni dans la graisse (substance apolaire), il n’a aucun effet destructif pour l’organisme humain.

Al (l’Aluminium)

Trouvé partout sur la surface de la Terre et utilisé comme emballage, en tant que métal cassant, l’aluminium peut être considéré un des plus connus et utilisés métaux de la planète. En étant un bon conducteur thermique, l’aluminium est une couche importante des masques avec acide hyaluronique. Les propriétés physiques de ce métal et sa résistance contre les agents oxydants l’ont fait le meilleur matériel pour ces masques qui retiennent l’eau dedans la peau et contribuent au processus de la régénération et du rajeunissement de la peau. En plus, les sels d’aluminium comme la chlorure d’aluminium (AlCl3), le chlorhydrate d’aluminium (Al2Cl(OH)5), l’aluminium capryloyl glycine, l’alun de potassium (KAl(SO4)3) et l’aluminium ses quichlorohydrate sont les composants actives anti-transpirant des déodorants. Le mécanisme des déodorants consiste dans la précipitation des ions d’aluminium en réaction avec l’eau. Les petites particules solides bloquent les canaux des glandes sudoripares et donc l’élimination de la sueur.

Al3+ + 3H2O Al(OH)3 + 3H+

Malheureusement, comme presque toutes les merveilles, la plupart des sels d’aluminium (sauf l’alun de potassium) sont dangereux pour la peau. Ils peuvent produire plusieurs maladies et blessures :

Pour conclure, la seule solution pour éviter le cancer de seins et d’autres maladies de la poitrine est l’utilisation du pierre d’alun de potassium , dont l’efficacité dure moins, mais ne cause pas de problèmes de santé.

Au (l’Or)

Considéré comme un métal de luxe grâce à ses propriétés anti oxydantes, l’or était considéré immune à tous les réactants minéraux ou organiques. Même après la découverte du mélange sulfonitrique, l’or reste le métal le plus noble du monde. Pour s’offrir des moments de lux (proprement et figurativement au même temps), il y a des femmes qui appliquent sur leur visage un masque en feuille d’or ou des crèmes qui contiennent des particules d’or. Les molécules d’or captent la lumière et la transforme en chaleur. Ainsi, la stimulation de la microcirculation détoxifie l’épiderme en profondeur. En plus, ce métal précieux prévient la dégradation du collagène et de l’élastine et prévient le vieillissement.

La caractéristique la plus étonnante est celle médicinale, car l’or peut traiter l’ulcères de peau, ayant un caractère anti-inflammatoire et anti-bactérien et en participant au transport des molécules d’oxygène dans la peau, au renouvellement cellulaire et à la cicatrisation des plaies.

As (l’Arsenic)

Pendant les XIX-ème siècle, l’arsenic était toujours utilisé par les dames riches pour donner au teint la pâleur spécifique à la mode de ces temps là. Au présent, même après la découverte de sa toxicité pour l’organisme humaine, il y reste des marques des produits de beauté qui en introduisent des quantités infimes, mais qui peuvent provoquer du cancer. Une fois rentré dans le corps, l’arsenic empêche la synthèse d’ATP et, donc, prive l’organisme de l’énergie si nécéssaire pour qu’il fonctionne parfaitement. Un autre effet de l’empoisonnement avec l’arsenic est le blocage des globules rouges, qui essaient oxyder toutes les molécules As5+ en As3+ et ne peuvent pas remplir ses autres taches. Par conséquent, il n’y a pas assez d’érythrocytes pour transporter toutes les molécules d’oxygène inspiré et de dioxyde de carbon expiré et l’accumulation des hématies dans la moelle hématogène peut provoquer des cancers.

Ca (le Calcium)

Le calcium est le sel minéral le plus abondant dans l’organisme. Il est présent dans les dents, les os, les muscles, dedans quelques hormones, dans le sang et même à l’intérieur de milliards de cellules. En conséquence, il est essentiel pour le développement et le bon fonctionnement de l’organisme.

En conséquence, il est essentiel pour le développement et le bon fonctionnement de l’organisme. Pour la peau, le calcium empêche le développement des cellules graisses, réactive la cohésion entre les cellules, reconstitue profondément l’épiderme, protège les couches supérieures de la peau et favorise la synthèse des lipides pour une meilleure hydratation. Les vergetures apparaissent à cause du manque de calcium dans la peau, dont l’assimilation baisse à partir de la ménopause ou même avant. Si le traitement des vergetures et compliqué et douloureux, sa prévention ne nécessite qu’assez peu de temps pour un soin attentif et méticuleux. Le calcium est absorbé le mieux par le nacre, qui contient 65% calcium, des protéines cellulaires proches du collagène et des enzymes qui facilitent l’absorption de ce métal et de la vitamine D. Par ailleurs, le sulfate de calcium (CaSO4) pénètre entre les cellules épithéliales et leur donne une structure plus résistante aux agents externes.

Cu (le Cuivre)

Le cuivre est un oligo-élément anti-oxydant naturel. Il est trouvé dans la structure des cheveux et dans l’ensemble de la peau. En conséquence, il aide la peau à se régénérer, en stimulant la production des tissus élastiques, comme l’élastine et le collagène. Par ailleurs, le cuivre contribue à la régulation de la séborrhée et à la cicatrisation. Il est plus convenable pour la peau, car il ne provoque pas d’allergies, des irritations ou des blessures comme la plupart des sels de cuivre.

L’argile, une substance utilisée fréquemment pour le traitement des boutons et pour la finesse de la peau, contient aussi des oxydes de cuivre, un des métaux qui donnent la couleur de l’argile rouge et brune. Étant un composé de la terre et de la nature, l’argile absorbe l’excès de sébum et les matières grasses et illumine la peau sèche, sans aucun effet adverse.

Le cuivre est aussi utilisé comme pigment pour les produits de beauté.

Fe (le Fer)

L’oxyde de fer est un pigment naturel, trouvé aussi dans la terre et dans différents types d’argile comme l’argile rouge ou brune, en fonction de la quantité de fer trouvé dedans. Dans le fard à paupières, la poudre au même dans les vernis, le fer a la responsabilité de donner la couleur jaune, rouge, violet ou noir. La nuance dépend de la quantité d’autres minéraux qui composent l’oxyde ou les sels de fer. Bien-sûr que le fer est aussi riche en antioxydants et, donc, protège la peau contre les bactéries et stimule la régénération. Le fer, qui est aussi un élément présent naturellement dans les fils de cheveux, contribue à leur récupération et est utilisé souvent dans les shampoings, ayant un double rôle, pigment et accélérateur pour la synthèse de kératine dans les cheveux au même temps.

Hg (Mercure)

Le mercure est le seul métal liquide à la température normale. Étant un métal lourd, il affecte négativement la santé des utilisateurs et a été interdit par l’OMS (l’organisation mondiale de la santé). Toutefois, les sels de ce métal peuvent encore être trouvés dans l’industrie cosmétique :

K (le Potassium)

Le potassium est présent dans tout l’organisme, son rôle principal étant de conduire l’impulse nerveux, par la pompe Na/K. La propriété ancienne de la potasse caustique était de participer à la synthèse du savon liquide. Au présent, il y reste peu des communautés qui préparent ce type de savon, la soude caustique étant préférée par les villageoises et les substances organiques comme SDS par la grande industrie. L’hydroxyde de potassium est utilisé actuellement comme solvant des cuticules des ongles.

Le sorbate de potassium est un très bon conservant, utilisé pour toutes sortes de cosmétiques. Au moment où il est dissolvé dans l’eau composant la crème, le sorbate de potassium est décomposé en acide sorbique et potasse caustique. L’ingrédient actif, l’acide sorbique, a des propriétés antifongiques et anti-bactériennes. Étant un acide gras naturel, extrait des baies du sorbier, l’acide sorbique n’as pas d’effets adverses, mais il est essentiel que les industries utilisent plutôt le produit naturel, extrait des plantes, que la substance synthétisé dans le laboratoire, qui peut inclure des impuretés qui affectent la santé. Au delà, le sorbate de potassium est presque inoffensif, pouvant créer des addictions ou de la diarrhée s’il est consommé excessivement. Pour la peau, ce produit est le conservant idéal, qui ne perturbe pas l’équilibre du corps.

Un autre sel de potassium qui est utilisé dans l’industrie cosmétique pour les crèmes dépilatoires, mais qui trouble visiblement l’intégrité de l’organisme, pas seulement à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur, est le thioglycolate de potassium. Exactement comme le sorbate de potassium, le thioglycolate libère l’acide glycolique qui dissolve la kératine du fil de cheveux, qui est incorporé par la crème et toutes les poiles disparaissent après un quart d’heure.

Malheureusement, ce produit peut provoquer des allergies et des irritations.

Mg (le Magnesium)

Le magnesium, le huitième élément le plus abondant sur la surface de la terre, n’est pas trouvé dans les produits cosmétiques comme métal proprement-dit, mais comme un ion présent dans un sel organique (stéarate de magnesium) ou inorganique (MgCl).

Le stéarate de magnesium est utilisé comme agent anti-agglomérant, agent de foisonnement, comme hydratant ou colorant blanc. Il lubrifie la peau et donne aux femmes la finesse désirée. De l’autre coté, l’acide stéarique libéré au contact avec l’eau est un agent cancérigène et un immunosuppresseur, qui détruit les lymphocytes T du thymus et empêche l’organisme à s’auto défendre. En plus, les huiles de palmier et d’autres plantes, d’ou les substances chimiques ont été extraites, contiennent des dérivés organiques qui affectent la santé des êtres humains.

La chlorure de magnésium et le sulfate de magnesium (sel d’Epsom) sont des inhibiteurs du stress et de la douleur. Exactement comme ces sels sont transformés en pilules pour la consommation alimentaire, l’ion de magnesium est aussi utilisé dans les crèmes relaxantes ou dedans l’huile appliqué au décours d’un massage.

Na (le Sodium

Le plus connu produit cosmétique avec du sodium est le savon, un sel provenant d’un acide organique. Le savon fait maison utilise plusieurs acides gras, trouvés dans la graisse de porc ou de bœuf ou dans les huiles. Le sel organique contient deux parties, une partie ionique qui forme des liaisons d’hydrogène avec l’eau et attrape la misère sous une bulle de savon.

D’autres substances trouvées dans les produits de beauté qui contiennent du sodium sont le sodium lauryl sulfate, le benzoate de sodium ou le sodium tallowate, des conservants organiques avec un possible effet cancérigène à cause du groupe aromatique. Actuellement, ces conservants organiques ne sont pas encore interdits par l’OMS.

Pb (le Plomb)

Le plomb et le cadmium sont utilisés pour la préparation du rouge à lèvres, parce qu’ils amplifient la couleur et donnent une tente plus brillante. Toutefois, ces métaux sont des métaux lourds qui peuvent provoquer des douleurs, des maladies neuro-dégénératives et même de la stérilité. Par conséquent, il est essentiel que les femmes apprennent à vérifier s’il y a du plomb dans leur rouge à lèvres. L’expérience consiste dans l’application du rouge à lèvre sur la main et la frotte avec une bague ou des boucle d’oreilles. Si on observe que la peau est devenue noir, le plomb est surement présent dans le rouge à lèvres.

Ti (le Titan)

L’oxyde de titan est fréquemment utilisé pour la coloration du fard à paupières en noir. L’oxyde de titan peut entrer facilement à l’intérieur du corps, par l’orifice des glandes lacrymales et le titan produit les mêmes conséquences négatives pour le corps comme tous les autres métaux lourds.

Conclusion :

Pour conclure, les métaux affectent profondément la peau et l’organisme, parfois positivement, en stimulant le métabolisme ou la diminution du stress, mais aussi négativement, par les acides libérés par le sel ou par les métaux lourds, difficile à excréter ou à absorber dans le sang.

Sources :
https://mag.welovebeauty.fr/soin-visage/le-masque-metallique-destee-lauder-quest-ce-que-cest/
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/BUPHA_T_2014_BATISSE_EDWIGE.pdf
https://www.lexpress.fr/styles/soins/les-actifs-precieux-dans-les-cosmetiques-sont-ils-vraiment-efficaces_1955568.html
http://secretsdebeautes.over-blog.com/2016/03/secrets-de-beautes-de-l-or.html
https://www.livescience.com/32880-how-does-arsenic-kill.html
http://www.perlanesse.com/le-blog/carnet-de-tendances/le-calcium-de-l-asssiette-a-la-cosmetique-_468.htm
https://www.santemagazine.fr/beaute-forme/soins-du-visage/pourquoi-du-calcium-dans-nos-pots-de-creme-173978
http://www.cameline.org/article-des-oligoelements-sur-la-peau-62702865.html
https://www.lesamesfleurs.com/products/sorbate-de-potassium-naturel-conservateur
http://fr.winesino.com/public-health-safety/food-safety/1007074238.html
https://intellivoire.net/es-effets-nefastes-du-mercure-contenu-dans-les-produits-destines-a-eclaircir-la-peau/
https://cosmeticshomemadecolchique.wordpress.com/2013/05/11/stearate-de-magnesium-dans-les-cremes-cosmetiques/
https://sante-medecine.journaldesfemmes.fr/faq/20676-lymphocyte-t-definition
https://www.ponroy.com/plantes/le-magnesium

Les essences dans les cosmétiques, à quoi servent-elles?

Ma recherche personnelle concerne les essences qui existent dans les produits cosmétiques. Sont-elles bonnes pour la santé ou détruisent-elles la peau ? Je vais faire une analyse des essences en ce qui concerne les domaines de la santé et de la beauté. Dans une première partie j’écrirai un peu sûr ce que sont les essences et comment sont-elles extraites. D’un côté chimique je ferai une analyse des composés avec leurs propretés et leurs formules moléculaires sur des exemples concrets. Je ferai aussi une comparaison entre les effets positifs et ceux négatifs des essences et pour finir je donnerai mon opinion sur le sujet abordé, pour établir le rôle de ces produits dans les dermato-cosmétiques.

Qu’est-ce que ce sont les essences et d'où viennent-elles ?

D’où viennent les essences ?

Les essences sont des substances hautement concentrées extraites de plantes aromatiques comme la lavande et le romarin. Il existe environ 700 plantes qui contiennent des essences utiles et il existe plusieurs méthodes de les en extraire, la plus commune étant la distillation. Même si la plupart des essences sont chères à l'achat, il est relativement peu coûteux de les distiller à la maison.

Les huiles essentielles font beaucoup parler d'elles depuis quelques années. Mais les plantes qui les synthétisent, elles, se font plus discrètes. Certes, il s'agit de plantes aromatiques, mais lesquelles ? Comment produisent-elles ces essences aromatiques, et pourquoi ?

Escapade au royaume des senteurs...

Certaines plantes sont capables, à partir des sucres issus de la photosynthèse et des nutriments puisés dans le sol, de synthétiser des essences aromatiques, c'est-à-dire des substances odorantes et volatiles, combinant des molécules très variées (en moyenne une centaine de molécules différentes pour une seule essence : terpènes, cétones, alcools, esters, aldéhydes...). Ces essences sont produites par des cellules végétales spécialisées et stockées dans de petites poches situées dans les feuilles, les fleurs, les tiges, le bois, l'écorce, la résine, les graines...

Chaque plante synthétise une essence unique (sa composition chez une espèce donnée peut varier en fonction du sol et du climat -on parle de chémotype d'une essence, ainsi que de la partie de la plante concernée), dotée d'un parfum bien particulier, voire de certaines propriétés : parfumerie, aromathérapie et cosmétique mettent ainsi à profit les essences aromatiques extraites des plantes sous forme d'essences.

C'est le soleil qui fournit aux plantes l'énergie nécessaire à la synthèse de ces substances puissamment parfumées : ce n'est donc pas un hasard si la majorité des plantes aromatiques poussent dans des zones ensoleillées et chaudes, voire sèches, par exemple dans les régions méditerranéennes (les plantes aromatiques comme le thym, le romarin ou la lavande en sont de bons exemples). Mais en dehors de celles que nous classons spontanément parmi les aromatiques, quelles sont les plantes susceptibles de donner de l'essence ?

D'abord, elles ont toutes en commun d'être odorantes, mais toute plante parfumée n'est pas forcément capable de fournir une essence : encore faut-il que l'on puisse extraire son essence en quantité suffisante. Ainsi, sur les plusieurs centaines de milliers d'espèces végétales dans le monde, environ 4000 savent synthétiser des essences aromatiques, mais seulement quelques centaines d'entre elles produisent suffisamment d'essences pour que l'on puisse les extraire sous forme d'huile essentielle. Elles appartiennent notamment aux familles suivantes :

Essence de cannelle


Essence de patchouli


Essence de vanille blanche


Procédé d'extraction des essences naturelles

On peut extraire les huiles essentielles par différents procédés ; certains d'entre eux ne sont toutefois plus employé de nos jours. Même si la méthode actuelle la plus courante est la distillation à la vapeur, des techniques plus efficace et plus économique sont continuellement mises au point.

Un côté chimique des substances odorantes

-LES MOLÉCULES ODORANTES-

Les odeurs sont des associations de centaines de molécules odorantes, ce sont elles qui sont responsables de l’odeur. La découverte et l’exploitation de ces molécules se sont développées avec la chimie organique au XXème siècle.

A. Classification des molécules odorantes :

Avec le développement de la chimie organique, on a pu partager les molécules odorantes en deux familles distinctes ayant chacune leurs caractéristiques : les molécules oxygénées et les hydrocarbures.

Les molécules oxygénées – comme le nom l’indique, il s’agit de groupes fonctionnels contenant un ou plusieurs atomes d’oxygène. Ce sont les plus odorantes. Elles regroupent les aldéhydes, les cétones et les esters.

Les molécules oxygénées

Les aldéhydes

Les cétones

Les ester

Caractéristiques

Caractérisés par leur groupement:

Caractérisés par leur groupement:

Caractérisés par leur groupement:

Il existe aussi d’autres classifications, les odeurs étant classées en fonction de leur perception, comme ici celle de Zwaardemaker. Celle-ci comporte neuf groupes :

B. Propriétés physiques et chimiques des molécules odorantes

Une molécule odorante possède un certain nombre de propriétés chimiques et physiques, qui la caractérise. Les molécules odorantes répondent pour la plupart aux propriétés qui suivent, mais ces caractéristiques sont très générales ; certaines molécules peuvent ne pas être odorantes et répondre à ces caractéristiques, ou au contraire être odorantes mais ne répondre qu’à certaines de ces caractéristiques (l’ammoniac a par exemple une concentration molaire de 17 g.mol-1 et ne répond donc pas à la propriété générale, mais est pourtant fortement odorant).

Un des critères pour qu’une molécule soit odorante est sa volatilité. Plus une molécule est volatile, plus elle est facilement portée dans l’air. Un corps qui ne possède pas de molécules volatiles n’émet pas d’odeur (ex : le verre).

Une molécule volatile est donc une molécule capable d’être transportée, dans l’air, jusqu’à notre nez avec une masse molaire moléculaire généralement comprise entre 30 et 300g/mol. C’est à dire une molécule pas trop lourde, pour qu’elle puisse « voler » jusqu’à nos récepteurs olfactifs. Précisons que la volatilité d’une molécule n’assure pas son odeur, ce facteur n’est pas suffisant à la diffusion d’une odeur d’une molécule. Autrement dit, toutes les molécules odorantes sont volatiles, mais toutes les molécules volatiles ne sont pas odorantes.

"L’intensité" d’une odeur n’existe pas. Ce critère correspond en fait à la concentration molaire qui est donc le seuil de détection d’une molécule volatile par l’homme.

Une molécule odorante doit avoir une concentration assez élevée pour être perçue par notre nez. Une même molécule peut être à l’origine de deux odeurs différentes pour deux concentrations différentes. Le nez, comme tous les capteurs, présente un seuil de reconnaissance et d’identification, dans ce cas, la concentration de la molécule odorante joue un rôle important. A très faible concentration, « l’image » d’activation des centres intégrateurs n’est pas suffisamment différente du « bruit de fond » et l’information n’est pas détectable. A une concentration supérieure, on atteindra le seuil de détection : une odeur indéfinissable. A plus forte concentration encore, « l’image » devient nette et peut alors être comparée à une information déjà mémorisée : c’est le seuil de reconnaissance ou d’identification.

Plus une molécule odorante est concentrée plus elle est identifiée par les récepteurs olfactifs. Si la concentration n’est pas assez élevée, l’intervention de souvenirs précis ne pourra alors pas être sollicitée. Le seuil de détection est de 10E17 mol. L-1 mais il peut atteindre 10-18 mol. L-1 dans certains cas exceptionnels.

La polarité est la caractéristique d’une molécule dont les charges négatives et positives sont disjointes, aux deux extrémités de la molécule. La polarité influe par ailleurs la solubilité d’une molécule dans un solvant.

Chaque atome est entouré d’un nuage électronique plus ou moins électronégatif, c’est-à-dire que l’atome a plus ou moins de facilité à attirer les électrons d’un autre atome. Ce déplacement d’électrons déséquilibre la liaison chimique entre les deux atomes : appelée liaison covalente. Cette liaison covalente peut être de plusieurs natures. Lorsque les atomes ont une capacité similaire d’attraction des électrons de la liaison, celle-ci est dite apolaire. Au contraire si l’électronégativité d’un atome est importante, il attire fortement les électrons de la liaison à lui, celle-ci est dite polarisée.

La polarité d’une molécule caractérise donc les échanges d’électrons des liaisons entre atomes suite à leur électronégativité.

Une molécule polaire possède donc au moins une liaison polarisée ; mais il existe des molécules apolaires contenant des liaisons polarisées comme par exemple le tétrachloréthane (qui possède 4 liaisons polarisées mais qui est apolaire)

La polarité influe par ailleurs la solubilité d’une molécule odorante : elles sont lipophiles, c’est-à-dire qu’elles se solubilisent dans les corps gras, les huiles.

Cette propriété est directement liée à celle de la polarité, puisque ces molécules, peu ou apolaires, se solubilisent dans des corps également peu ou apolaires, ce qui est le cas des corps gras, et des huiles.

Or, pour être sentie, une substance doit être soluble dans l’eau (très polaire), afin de pouvoir se solubiliser dans le mucus nasal et y atteindre les récepteurs olfactifs. Les molécules s’associent donc à des protéines OTP (« odorant transport protéines »), qui les aident à atteindre les récepteurs. Sans ces dernières, ces molécules seraient inodores pour la simple raison qu’elles ne parviendraient pas à atteindre leurs cibles olfactives.

Les odeurs varient selon la structure de la molécule. Cependant, il est impossible de classer les odeurs en fonction de leur structure.

Leur structure dans l’espace :

On a constaté qu’il existait à la fois des molécules de structures proches qui donnent des odeurs proches, mais aussi des molécules de structures proches qui donnent des odeurs différentes et des molécules de structures différentes qui donnent des odeurs proches.

Les structures de certaines molécules odorantes ont parfois été cernées, mais il n’existe pas de rapport connu entre structure dans l’espace et odeur.

Provenance des molécules odorantes:

On trouve de nos jours deux sortes de molécules odorantes : les molécules odorantes naturelles, et celles fabriquées par l’homme : les molécules odorantes synthétiques.

Les molécules odorantes naturelles se trouvent comme leur nom l’indique dans la nature.

Les molécules proviennent d’êtres vivants dont les molécules libérées répondent aux propriétés énoncées un peu plus tôt. En effet, les plantes, les animaux, et les humains libèrent des molécules odorantes.

Par exemple, les plantes parfumées sont très variées : les substances odorantes sont émises le plus souvent par les fleurs, mais aussi par les feuilles, les troncs, les racines ou les fruits… Elles peuvent être libérées par le biais:

La principale difficulté avec les molécules odorantes naturelles reste l’extraction même avec des procédés sophistiqués, l’opération nécessite plusieurs tonnes de fleurs ou de tiges pour un faible rendement. Aujourd’hui, on retrouve environ 5% seulement d’essence végétale naturelle dans les parfums.

On utilise désormais le plus souvent des molécules synthétiques.

La chimie de synthèse permet de reproduire une odeur « sur mesure » à partir de composés naturels ou artificiels. La synthèse d’une espèce chimique est une transformation au cours de laquelle les réactifs mis en jeu conduisent à un produit dont l’espèce chimique est recherchée.

Avec la naissance de la chimie organique, les chercheurs commencèrent à isoler dans la nature des molécules olfactivement intéressantes, avant d’inventer plus tard des produits chimiques sans équivalent dans la nature.

Les synthèses ont permis le développement de la parfumerie au XIXème siècle. C’est le début d’un déferlement de nouvelles substances synthétiques qui exercèrent une énorme influence dans la parfumerie. La cannelle est le premier arôme naturel à avoir été fabriqué artificiellement, en 1856, par un chimiste nommé Luigi Chiozza. Les produits de synthèse furent incorporés conjointement aux produits naturels, puis apportèrent des notes inédites aux nouvelles compositions. Si la composition des parfums devient complexe, les coûts se trouvent néanmoins réduits. De nos jours, 98 % de la totalité des substances utilisées en parfumerie sont des molécules synthétiques.

Les essences peuvent diffuser dans tout l'organisme en traversant la peau. En effet, leur action se manifeste localement au niveau de la zone cutanée d'application, avant de s'étendre à toutes nos cellules car après avoir traversé la barrière cutanée, les huiles essentielles pénètrent dans le sang, décuplant ainsi leurs bienfaits. Sur la peau, les huiles essentielles peuvent être appliquées de quatre façons : en massage, en compresse, dans le bain et sous la douche.

Les huiles essentielles en massage

Directement sur la peau, les huiles essentielles peuvent être utilisées en massage. Il convient cependant de les diluer au préalable. Elles se diluent classiquement dans une huile végétale de base ou de support. Elles se choisissent en fonction des besoins et des goûts.

Par exemple, l'huile d'amande douce est adoucissante, hydratante, cicatrisante et apaise l'inflammation cutanée ou les démangeaisons. L'huile d'avocat convient bien aux peaux sèches et fragiles, et aide à lutter contre le vieillissement cutané. L'huile de germe de blé, riche en vitamine E, un antioxydant très puissant, s'adresse davantage aux peaux sensibles et ridées. Elle protège des agressions extérieures et aide à réparer les tissus. L'huile de pépin de raisin, très douce, antioxydant, antibactérienne et immunostimulante est particulièrement bien adaptée aux peaux grasses et aux massages. Mais on peut également l'utiliser comme huile de base : l'huile d'olive de première pression à froid, l'huile d'onagre, de noisette, de macadamia, de rose musquée du Chili, de sésame, de tournesol, d'argan, de bourrache ou de jojoba

En guise de conclusion on peut dire que les essences ont un rôle très important dans l’industrie des cosmétiques, car on les utilise dans plusieurs situations. Leur premier rôle est celui de substance odorante qui donne aux produits dermato-cosmétiques une odeur plaisante et un arôme attrayant. Du point de vue de la santé, ces substances ne sont pas nuisibles et peuvent être utilisées sans aucune problème dans les produits quotidiens.

Les parabènes : un problème de santé publique ?

Qu’est-ce que les parabènes ?

Les parabènes sont des esters de l’acide PARA-hydroxy benzoïque

Un parabène résulte d’estérification entre un acide PARA-hydroxy benzoïque et un alcane dont la longueur de la chaîne carbonée et la conformation sont variables.

Utilisation

Les parabènes sont utilisés dans les produits cosmétiques, dans les médicaments et dans les aliments.

En alimentaire, on les trouve dans les pâtisseries, les gâteaux, les crèmes, les sirops. Les parabènes méthylique et propylique sont les plus utilisés dans ce domaine.

Les parabènes sont utilisés comme conservateurs dans de nombreux produits médicaux. Les plus utilisés parabènes sont : le propylparabène et le méthylparabène.

Les parabènes se trouvent dans plus de 80% des produits de beauté dont les shampooings, des crèmes hydratantes, des gels nettoyant. Les plus utilisés parabènes sont :

En effet, les parabènes permettent de lutter contre le développement des champignons et de nombreuses bactéries. Cependant, les législateurs ont du mal à se prononcer sur les dangers des parabènes par manque de preuves scientifiques.

Dans la partie suivante, on va parler sur la toxicité de ces substances.

Toxicité des parabènes

Les effets irritants
Les études toxicologiques montrent que, dans un cas d’allergie, les parabènes provoquent des urticaires ou des dermatites.

De plus, une autre étude dit que méthylparabène, appliqué sur la peau accélérait le vieillissement cutané si la peau était exposée au soleil.

Les effets sur la fonction de reproduction masculine
Une étude indique que le butylparabène et le propylparabène ont des effets néfastes sur la fonction du système de reproduction masculin. Le butylparabène réduit le nombre de spermatozoïdes, détériore la spermatogenèse et réduit la mobilité des spermatozoïdes chez la progéniture. Le propylparabène a des effets similaires mais dans une moindre mesure.

Les effets ostrogéniques
Les parabènes ont un effet ostrogénique, celui-ci est beaucoup plus faible que le 17-bêta-estradiol (une hormone sexuelle) et cet effet augmente avec la longueur de la chaîne.

Les effets sur le cancer du sein
Une étude montre la présence de parabènes dans les tissus de cancer du sein. En effet, des parabènes ont été détectés dans un petit nombre dans le tissu

Les effets neurotoxiques
Il est rapporté que le metylparabène et les propylparabène ne montrent aucun effet neurotoxique.

Les dangers des parabènes dans les cosmétiques ont été discutés dans les parties précédentes.

Les études ne sont pas claires ou menaçantes à cause d’un manque de preuves scientifiques.

Conclusion

Les parabènes sont des esters de l’acide PARA-hydroxy benzoïque très utilisés dans les domaines alimentaires, pharmaceutiques et cosmétiques. Mais est-ce qu’ils représentent un problème de société publique ?

D’un part, les parabènes ont des propriétés antifongiques et antibactériennes qui jouent un rôle essentiel dans la santé. L’évaluation des risques liés à l’utilisation des parabènes a montré un manque de données cohérentes. Malgré ces incertitudes, les parabènes qui ont une chaîne courte ne représentent pas un risque de santé publique.

De plus, l’application d’une quantité faible d’un produit cosmétique qui contient des parabènes implique un petit risque pour n’engendre aucune recommandation, ni action en matière de santé publique.

D’autre part, le manque des études sur parabènes peut avoir un effet nocif sur notre santé. Les effets irritants, ostrogéniques et les effets sur la fonction de la reproduction masculine montrent que les parabènes ne sont pas si sûrs.

En conclusion, même s’il y a un manque d’ études, les parabènes, utilisés dans des quantités équilibrées ne représente pas un problème de société publique.

Sitographie :

www.wikipedia.com
http://biologie.polytechnice.fr/jahia/webdav/site/biologie/shared/document_public/PolyToxNice/7-Parabens.pdf
https://documentation.ehesp.fr/memoires/2009/persan_igs/parabens.pdf
http://www.sfatulmedicului.ro/Educatie-pentru-sanatate/parabenii-ce-sunt-si-cat-sunt-de-periculosi_11566

Sont les huiles bénéfiques pour notre peau ?

Comme pour les shampoings, beaucoup de produits du commerce qui se vantent de nourrir notre peau contiennent en fait des produits qui n’agissent qu’en surface, sans prendre soin d’elle en profondeur. Résultat : elle est sensibilisée par les moindres petits déséquilibres, fatigue, alimentation, etc.,

Toutes les huiles sont composées, en proportions variables, de trois types d’acides gras : saturés, mono insaturés et polyinsaturés. On les classe selon les acides gras prédominants. Les huiles d’olive et de canola (ou de colza), de plus en plus populaires en Amérique du Nord, sont composées en grande partie de gras mono insaturés. Ceux-ci sont reconnus pour exercer plusieurs effets bénéfiques sur la santé. D’autres composés actifs présents dans ces huiles peuvent apporter des bienfaits pour la santé.

Les huiles végétales

Les propriétés bénéfiques des huiles végétales sont connues depuis l'antiquité, elles nourrissent, protègent et hydratent la peau.

Elles s'utilisent comme une crème de soin et ne sont pas toxiques, elles ne possèdent aucun conservateur chimique et sont beaucoup plus économiques et efficaces que la plupart des cosmétiques de soin vendus en grandes surfaces.

Contrairement au crèmes hydratantes, les huiles végétales n'apportent pas d'eau à la peau mais forment une couche grasse qui empêche l'eau contenue dans la peau de s'évaporer.

Elles préservent le film hydrolipidique de la peau qui constitue une barrière défensive naturelle.

Il faut savoir qu’il existe plusieurs types de peaux, dont 4 grandes catégories :

Mais cela serait trop simple car le type de peau ne fait pas tout. On ne peut pas toutes se ranger dans 4 cases ! Car notre style de vie (stress, hygiène de vie, etc.), couplé à la nature de notre peau va lui donner des tendances :

Les huiles végétales pour peau sèche / déshydratée

Et bien sur le traditionnel beurre de karité, allié inconditionnel des peaux sèches, riche en vitamine A et E et en phytostérols, il hydrate, nourrit la peau en profondeur et renforce son élasticité.

Les huiles végétales pour peau mixte à grasse

Les huiles végétales pour peau normale

Si tu ne ressens pas le besoin de mettre quelque chose sur ta peau, c’est que tout va bien.

Tu peux simplement utiliser une huile légère et passe-partout aux nombreuses vertus :

Les huiles essentielles

Les huiles essentielles sont reconnues depuis de nombreuses années pour leurs vertus exceptionnelles. Extraites à partir de plantes fraîches, ces essences se révèlent très utiles dans le domaine de la cosmétique.

Une huile essentielle peut contenir, à elle seule, plusieurs centaines de molécules actives. Chacune a des propriétés bien distinctes.

Plus puissantes en synergie, les huiles essentielles peuvent être associées de façon à répondre à des problèmes précis. Il est donc possible de concocter des mélanges entièrement personnalisés, selon nos besoins.

Elles ont également l'avantage d'agir en profondeur et sur le long terme. Ajouter des huiles essentielles dans nos masques pour le visage et soins quotidiens est donc une excellente pratique.

Attention toutefois, en règle générale, elles ne peuvent s'utiliser pures du fait de leur très forte concentration. Il faut donc les associer à des crèmes ou des huiles végétales adaptées à notre type de peau.

Les huiles essentielles pour chaque type de peau

Parmi les plus courantes, on trouve notamment la lavande vraie. Ses propriétés sont nombreuses, et elle est reconnue pour ses effets cicatrisants. Son odeur a, quant à elle, des vertus relaxantes. En cosmétique, elle est donc un vrai plus bien-être.

Pour soulager les peaux sensibles, on peut également miser sur l'huile essentielle d'ylang-ylang ou de camomille romaine. Diluer deux gouttes dans 1 ml d'huile végétale de son choix pour créer un sérum apaisant et réparateur.

En cas de peau sèche, on mise sur l'huile essentielle de néroli, combinée à une huile végétale très nourrissante comme celle d'avocat.

Les peaux à tendance grasse doivent quant à elles se tourner vers des actifs purifiants comme l'huile essentielle de pin sylvestre. Mélangée à une huile végétale séborégulatrice comme le jojoba, elle révélera toute son efficacité.

Enfin, les peaux matures ont tout intérêt à intégrer les huiles essentielles dans leur routine beauté. Certaines, comme l'huile essentielle de rose Damas notamment, sont en effet connues et reconnues pour leur effet rajeunissant.

Imperfections, signes de l'âge : quelles huiles essentielles utiliser ?

Pour prévenir l'apparition des rides, diluer une dizaine de gouttes d'huile essentielle de bois de rose ou d'encens dans une grosse cuillère à café d'huile végétale d'avocat. Un soin antirides 100 % naturel et terriblement efficace.

En cas de cernes, l'huile essentielle de tea tree est une alliée de taille. Pour un masque express, mélanger quelques gouttes de cette essence dans de l'huile d'argan. Appliquer cette formule en massage doux autour des yeux.

Les bienfaits de l'huile essentielle de tea tree ne s'arrêtent d'ailleurs pas là. C'est l'une des rares huiles essentielles que l'on peut appliquer pure à l'aide d'un coton-tige, sur un bouton naissant. Purifiante et cicatrisante, elle est parfaite pour venir à bout de l'acné.

Enfin, on peut s'orienter vers l'huile essentielle de thym à linalol qui, diluée dans une huile végétale comme le jojoba, aura une action antibactérienne tout en limitant les excès de sébum.

Le peeling : efficace et sans danger ?

Bien que le concept de «beau» dépend beaucoup du moment historique, de l'espace géographique et des éléments culturels, certains aspects demeurent constants. Ainsi, la symétrie du visage, l'uniformité de la couleur de la peau, l'aspect frais et lumineux ont toujours été considérés comme des éléments de beauté. Chacun d'entre nous retient dans nos esprits une image idéale que nous ne pouvons pas trouver en regardant le miroir à un moment donné. De petites imperfections, telles que des taches plus foncées, des pores plus visibles, de fines rides au coin des yeux, un aspect plus serré et plus clair, viennent progressivement se déposer comme un "masque" que nous aimerions enlever pour pour trouver notre regard jeune et lumineux. L'une des méthodes les plus efficaces et les moins agressives pour le trouver est le peeling chimique.

Déjà 3500 ans avant notre ère, un écrit sur papyrus vantait les bienfaits des pâtes abrasives : les Egyptiens utilisaient une solution de lait et de miel avec des particules d’albâtre. C’est à dire que depuis toujours, l’homme et la femme ont voulu gommer certaines imperfections cutanées superficielles (rides, cicatrices, kératoses, taches pigmentaires) en lissant la surface de leur peau et essayer ainsi de l’améliorer, voire de conserver sa fraîcheur et la rajeunir.

Ce lissage correspond à une abrasion et les techniques d’abrasion d’aujourd’hui peuvent être :

Les peelings chimiques ont un traitement adapté à votre type de peau. Une belle peau commence avec une peau saine. Le cercle de la santé de la peau se compose de traitements professionnels hautement efficaces parfaitement adaptés aux conditions spécifiques de la peau. Ces traitements sont complétés par des produits de soins à domicile quotidiens pour améliorer et maintenir des résultats exceptionnels.

DÉFINITION, OBJECTIFS ET PRINCIPES

Qu’est ce que le peeling chimique ?

Les peelings chimiques sont des traitements de surface. Il s’agit d’appliquer un acide sous forme de liquide ou de pâte, afin d’éliminer la couche superficielle de la peau. On obtient un épiderme neuf, plus net, plus lisse et plus tonique. Il permet de corriger le désordre pathologique ou esthétique initial. Il existe 3 principaux types de peelings chimiques : superficiel, moyen et profond. Ces peelings pénètrent plus ou moins agressivement et profondément, pour des désirs, des indications et des résultats différents.

Ses actions:

Petit état des lieux avant le peeling :
- Peau très fatiguée avec un teint blafard en prime (depuis quelques mois, je dors/mange mal, et ça se voit)
- Petites rougeurs éparses
- Peau à tendance grasse et pores dilatés
- Petite cicatrices pigmentées de récents boutons d’acné (j’ai les hormones qui se la jouent encore un peu juvéniles en ce moment, à 33 ans…)
- Un masque de grossesse sur le front et le menton qui revient chaque été depuis 4 ans.

Les différents peelings :

Objectif du traitement :

L’intervention

Après nettoyage et désinfection de la peau et installation des champs stériles, le produit est appliqué, selon un protocole (concentration, durée d’application) propre à chaque type de peeling et selon l’importance du défaut à corriger, la zone à traiter, la qualité de la peau et le but recherché.

Après l'intervention : les suites et les résultats

Les peelings légers et superficiels ne réalisant qu’une simple exfoliation, les suites sont simples et ils peuvent être appliqués sans restriction de zone avec des conseils de protection, notamment solaire, classiques.

Les peelings moyens ou profonds, en revanche, réalisent une brûlure chimique contrôlée qui détruit l’épiderme et la partie superficielle du derme.

Immédiatement après le traitement, le derme est mis à nu, ce qui entraîne rougeur, œdème et suintement.

Des soins locaux, attentifs et très précautionneux, à base de corps gras ou de pansements seront réalisés jusqu’à cicatrisation complète, obtenue en 10 à 15 jours. Bien dirigés, ces soins locaux éviteront l’apparition de croûtes, qui même si elles ne sont pas souhaitables peuvent éventuellement se former et ne devront pas être arrachées pour respecter la cicatrisation sous-jacente en cours et ne pas risquer une éventuelle cicatrice résiduelle.

Ensuite, après le 10ème jour, des soins à base de crèmes émollientes pour peau sensible, un maquillage adapté et une protection solaire sont préconisés pour camoufler l’aspect rouge ou rosé de la peau traitée pendant 2 à 6 mois. C’est cette restauration de la surface cutanée qui se fera avec un aspect plus lisse, en gommant plus ou moins, les imperfections que l’on désire traiter.

Complications :

Déroulement du traitement :

Le peeling chimique, ça peut se pratiquer dès l’adolescence. J’ai eu l’occasion de le tester avec la gamme de produits Image Skincare, et voici mon verdict.

L'acné était le cauchemar de ma jeunesse. Après consultation de divers dermatologues et conséquences de différents traitements cosmétiques, la sévérité de celui-ci a considérablement diminué, mais les points post-acnéiques ont persisté. La visite d'un esthéticien pendant les heures du projet m'a convaincu de le consulter afin d'enlever les taches faciales mentionnées. Quand on m’a proposé de découvrir la gamme des produits Image Skincare et dans la foulée de faire un peeling chimique avec le Image Skincare, j’ai hésité. Dans mon esprit, tout ce qui est "chimique" est forcément mauvais pour la santé (question d'éducation). Mais après avoir posé 17 questions ponctuées d'un "vous êtes sûre, il ne va rien m’arriver ?" et m'être informée sur la fabrication des produits, je me suis laissée tenter.

Elle me prévient d’emblée : " ça va un peu piquer ". En effet, mais c’est tout à fait supportable. Je m’attendais à me retrouver avec une tartine épaisse d’un produit malodorant et brûlant sur le visage, mais pas du tout. Elle m'applique un produit translucide ayant la même consistance que l’eau.

Le temps de pose est très court lui aussi : seulement une petite dizaine de minutes. On rince à l’eau tiède, on sèche délicatement en tamponnant la peau, surtout pas en frottant pour ne pas l’agresser davantage. On applique ensuite un produit qui neutralise l’effet de l’acide et qui rééquilibre le pH de la peau. La sensation de picotement disparaît totalement.

On applique ensuite un masque " 3D ". Pourquoi 3D ? Parce qu’il est composé de 3 couches qui conservent les agents actifs de façon stérile. Il sent bon et laisse une sensation vraiment fraîche et agréable sur la peau.

Voilà, c'est fini ! Arrive enfin l’heure du verdict : miroir + comparatif des photos avant/après. Je cherche ce qui est mieux qu'avant... vois pas. En gros, par rapport à quand je suis arrivée, c’est un peu plus… rouge. Et uniquement à certains endroits. Mes pores sont toujours aussi dilatés. Mais je connais ma peau, elle s’emballe assez vite et je savais qu’elle allait réagir plus qu’il ne le fallait. Je ne m’affole pas.

Le lendemain, et même encore 3 jours après : mon visage pèle par petites zones (le nez, les pommettes et le menton). Quand le peeling est plus agressif, on conseille même aux personnes qui le pratiquent de prendre une semaine de congé.

J+4 : je suis heureuse, je suis contente, je vois enfin l’effet du peeling. Ma peau est plus lumineuse, plus fine, mon teint est unifié. Il faut dire aussi qu'on sent que les produits sont de très haute qualité. Je suis tellement contente que j’ai envie d’en refaire un juste pour accentuer l’effet sur les pores de ma peau. On peut enchainer jusqu’à 3 ou 4 peelings pour obtenir un effet optimal.

On fait un petit récap ?

Le peeling chimique, qu’est-ce que c’est ?
Le peeling relève de la médecine esthétique. Il ne peut donc être pratiqué que par un professionnel : un médecin esthétique ou un dermatologue. Son action va également stimuler la production de collagène, pour remplacer les cellules éliminées par d’autres, toutes fraîches, pour un visage visiblement clarifié et rajeuni.

Pour qui ?

Fortement déconseillé pour :
Les personnes ayant la peau très sensible ou souffrant d'épilepsie, à celles qui ont fait une épilation définitive au laser, aux personnes souffrant de problèmes de cicatrisation, de troubles du système lymphatique, ou de maladies cutanées comme un psoriasis, des poussées d’herpès, ou encore d'un eczéma.

Durée : la totalité du soin prend une petite trentaine de minutes

Où le faire ? : chez un dermatologue ou dans un institut de beauté spécialisé.

Effet maximal : après 4-5 jours dans mon cas (le temps que la peau cicatrise)

Durée de l'effet : +/- 1 an.





Sitographie :
http://plusmagazine.levif.be/sante/le-peeling-efficace-et-sans-danger/article-normal-461661.html
https://www.dr-laurenthalimi.com/IMG/pdf/28._les_peelings_du_visage.pdf
https://www.rtbf.be/tendance/beaute/detail_on-a-teste-pour-vous-le-peeling-chimique?id=8367623
http://www.chirurgie-esthetique.com/peelings-medecine-esthetique.html
http://www.grdec.com/medias/Content/Images/INFORMATIONS_RELATIVES_AUX_PEELINGS_CHIMIQUES_SUPERFICIELS.pdf
https://imageskincare.com/treatments#chemical%20peels